Ma soirée du mercredi 27 c'est donc bien achevée dans un resto en compagnie de plusieurs couchsurfers.2 locaux et 4 autres "de passage" pour quelques mois. Ce qui semble être le cas de nombreux métros venant passer un an ou deux avant de rentrer.
Le petit moment fort de la soirée: le rhum dans la bouteille qui enferme des scolopendres XXL (comme les serpents et autres insectes au Laos ou au Vietnam).
Benoit n'est pas de la partie aujourd'hui et on décide de retourner vers les spots de basse terre que l'on à rater la dernière fois sur la boucle nord.
On commence par Baie Mahault et son cimetière. Subtilité par rapport au cimetière de Morne à l'eau,ici les lambis (coquillage que vous ne pouvez associer qu'aux îles paradisiaques) font partie intégrante du décors. Ils servent à la constitution des tombes... Dédicace à Aurélien (2eme fois), c'est très Thalassesque!
Puis surtout,le cimetière jouxte une énorme épave de cargo. Déposée là après le passage du cyclone Hugo en 1989. Le paysage en devient irréel: mastodonte rouillé devant un eau bleue turquoise.
La suite, c'est plus des activités familiale et touristiques. Compte tenu de l'heure à laquelle ferment ces attractions (17h), on poursuit la route sans stop à la plage de la grande anse et l'on se rend à nouveaux à Ste Rose où l'on déjeune comme des rois dans un boui-boui. Vivaneau (gros poisson à l'allure d'un rouget XXXL) et plateau de riz assaisonné local. Très très bon et copieux. Les tenanciers ont tous attributs du coin (de l'accent à l'allure).
La maison du bois et fermée, le spot à côté tenu par un "peintre de sable" nous occupe 30mn. On à le droit à l'histoire de la dernière éruption du volcan du coin (que Benoit à vu accessoirement). L'idée du proprio, c'est de faire des tableaux à partir de sables uniquement de la Guadeloupe. Variété de couleurs ma fois surprenante mais son travail reste assez grossier je trouve.
Toujours dans la région, il y a de nombreux parc: animaliers, botaniques (maison de Coluche). Comme ils se valent à peu près tous, on opte pour le parc des Mamelles. Trajet suspendu dans les arbres sur des ponts de corde, perroquets bavard, guépard ronfleur, ratons laveur gloutons, singes acrobates, fleurs exotiques... Beaucoup de potentiel mais je trouve assez mal mis en valeur.
La mater trouve le moyen de se prendre pour une cascadeuse sur le bois glissant et fini par terre: aie aie aie. Plus de peur que de mal.
La nuit est déjà là, retour au bercail.
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